Compte-rendu CGT et Ugict-CGT – CRIC du 11 mars 2021

Interventions des représentants de proximité CGT & Ugict-CGT

Déclaration préalable de la CGT et de l’Ugict-CGT

« Nous condamnons la décision de la direction de licencier notre collègue du département des flux entrants. Il y avait d’autres solutions possibles que de procéder à ce licenciement sec. Surtout, envoyer notre collègue au chômage dans le contexte actuel peut s’avérer lourd de conséquence pour elle. Un organisme dit de sécurité sociale ne doit et ne devrait pas avoir recours à ce type de pratique. »

Toutes les organisations syndicales se sont associées à cette déclaration.

Questions en gras, réponses de la direction et nos remarques ensuite

Tous sites

  • Demande d’une revalorisation de la prime de TAD, compte tenu des augmentations diverses, d’électricité notamment, intervenues depuis mars 2020.

Cette demande ne relève pas de la direction de l’Urssaf IDF, qui est tenue par l’application du protocole national de 2017. Le recalcul doit s’opérer au 1er janvier. Aucune modification en 2021 par rapport à 2020, à croire que les prix n’augmentent pas… Par ailleurs, le télétravail va faire l’objet d’une négociation globale en 2021.

  • Nous constatons toujours des problèmes de paie : retard de paiement des heures supplémentaires, des primes de crèches, des indemnités TAD, des primes téléphoniques, etc. La direction a voulu sous-traiter cette fonction dans un autre organisme, à elle de trouver une solution, par exemple en embauchant du personnel à la DRH.

La paye est toujours traitée à l’Urssaf IDF, même si la mutualisation se profile, pour 2022 a priori… La DRH n’a pas constaté de retard sur les primes de crèches, ce n’est pas notre ressenti au regard des interpellations des collègues sur le sujet. Des retards sur les indemnités télétravail, la DRH reconnait quelques difficultés pour cerner ce point. Un fichier de réclamation a été mis en place depuis début 2021 pour les primes de fonctions. La DRH n’a pas détecté de soucis dans WatRH. Là-aussi, nous n’avons pas le même ressenti.

  • Les chargés de la relation cotisant demandent la présence d’un agent de sécurité sur tous les centres d’accueil, le bouton d’urgence n’est pas suffisant pour faire face à la violence de certains cotisants, d’autant plus qu’il leur a été recommandé d’utiliser ce bouton avec beaucoup de parcimonie.

Les agents de sécurité seront maintenus dans tous les sites avant tout retour à la « normale ». Un outil « Ramsès » est connecté directement avec la police. Il faut l’utiliser qu’en cas d’agression, sachant que la façon dont on appréhende une agression n’est pas toujours simple à évaluer…

  • Suivi des demandes de mobilités : point d’étape sur ce dispositif. Les collègues ne savent pas si leur demande est toujours d’actualité et examinée.

Cette question était auparavant suivie en délégation du personnel. 28 demandes de mobilité en cours de traitement à ce jour, dont 19 mobilités géographiques et 9 mobilités fonctionnelles. Un suivi périodique est toujours mis en place. 37 demandes ont été traitées en 2020 dont 27 ont été réalisées et 10 ont été annulées à la demande du salarié.

  • Nombre de comptes par régimes, par portefeuilles, par direction.

Cette demande n’entre pas dans le cadre de la Cric. Nous reposerons cette question au CSE.

  • Y’a-t-il des collègues qui pourraient télétravailler dans le cadre de la crise sanitaire et auxquels l’encadrement refuse le télétravail sous prétexte d’un manque d’autonomie ?

La DRH n’a pas connaissance de tels cas. Le manque d’autonomie ne peut pas être mis en avant dans la situation actuelle. Rappel : tout collègue peut revenir un jour par semaine sur site, au volontariat.

  • La signalétique est encore inexistante sur plusieurs sites. Le nécessaire sera fait quand ?

La signalétique est en train de se déployer à Paris et Cergy. Suivront les sites de Dammarie, Lieusaint et Champs. Le déploiement a été volontairement temporisé suite aux changements « visuels » imposés par l’Acoss aux Urssaf… Ou comment l’Acoss met (une fois de plus) des bâtons dans les roues de l’Urssaf IDF…

  • Nombre d’ordinateurs restants à livrer à domicile ? Répartition par site. Nombre de collègues travaillant encore à ce jour sur leur matériel personnel ? Répartition par site.

Cette question sera revue en CSE.

  • Nous demandons une certaine souplesse pour l’attribution des congés pendant les ponts du printemps (le jeudi de l’Ascension notamment).

La DRH se contente de rappeler la note de service habituelle, sans plus de précision, laissant ainsi la possibilité de refus intempestifs dans certains services. Par ailleurs, des congés posés de façon prévisionnelle sont souvent considérés comme définitifs par certains responsables…

  • Des questions sont clôturées sans réponse dans l’outil WatRH. Pour quelles raisons ? Par exemple, comment déclarer les heures supplémentaires effectuées en 2020 et qui doivent être déclarées pour les impôts alors qu’elles sont défiscalisées ?

Les collègues ont la main pour clôturer les questions dans WatRH. Si la réponse n’est pas satisfaisante, alors le collègue n’a pas à clôturer la question, en précisant le motif de refus de la solution. Les heures supplémentaires ne sont pas reprises dans le net fiscal, à vérifier et nous alerter si ce n’est pas le cas.

  • Offre de candidature pour un poste de contrôleur du recouvrement : pourquoi elle figure dans la rubrique « employé », alors qu’il s’agit d’un poste de cadre ?

Il s’agit bien d’un poste de cadre.

  • Carte Up : nombre de collègues qui ont vu disparaître leur antériorité de tickets restaurant. Par ailleurs, la possibilité de régler les commerçants avec cette carte se restreint de plus en plus. La direction a-t-elle prévu de faire une évaluation de l’utilisation de cette carte ? Peut-on revenir sur le choix du prestataire ?

10 collaborateurs se sont manifestés sur la disparition du solde de l’antériorité. Une analyse de ce solde a été menée. Up a également communiqué concernant la restitution à venir de ces soldes 2020 (report du millésime sur 2021), mais ces soldes, pas toujours visibles actuellement suite à un bug, sont ou seraient restitués. A surveiller. Le millésime 2020 sera valable jusqu’au 28 février 2022 (contrairement à ce qu’indique par erreur une information transmise par Up).

Up a transmis un bilan récemment, avec une date d’arrêt des statistiques au 25 janvier. A cette date, le taux d’activation de la carte est de 97,5 %. 64 % des collègues auraient un solde inférieur à 200 euros sur leur carte, le solde moyen est de 182 euros. Taux de transaction acceptée : 89,2 %. 6,8 % des transactions sont refusées car non affiliées au réseau Up et 4,0 % sont refusées à cause d’un mauvais usage de l’utilisation de la carte (plafond dépassé, etc.). Des commerçants acceptent le paiement par carte sur place alors qu’ils le refusent par internet, pas clair…

Par ailleurs, l’utilisation de Yammer s’impose à tous, sans réel accompagnement et dans une période qui n’était pas du tout propice à ce type d’organisation ! Cela n’arrange pas la communication sur divers sujets (dont les échanges sur la carte Up).

  • Réduction du temps de pause entre deux appels sur contact multimédia, qui passe de 30 à 18 secondes et quasi-impossibilité de prendre les pauses prévues de 15 minutes, car les collègues ne peuvent plus se mettre en pause sur contact multimédia comme elles le faisaient auparavant (elles sont obligées de se déconnecter).

Ce point est inscrit à l’ordre du jour de la CCSCT du 25 mars.

  • Nous demandons à nouveau de stopper les journées de production régionales qui mobilisent les collègues au moins une fois par semaine et ne permettent pas de gérer correctement son portefeuille. La direction doit embaucher pour faire face à la charge de travail.

Ce sujet a été abordé à de nombreuses reprises, et pour cause, les collègues ne se satisfaisant pas de cette organisation « provisoire » … La direction maintient sa position actuelle, soit la nécessité de maintenir ces journées de production régionale. Une telle politique, de fait pérenne, ne peut pas compenser le manque de moyens, avec des effectifs insuffisants.

  • Des disparités importantes subsistent quant à la prise en charge des appels téléphoniques. La direction peut-elle préciser les dispositions par site arrêtées à ce jour ?

Ce point sera également abordé lors de la CCSCT du 25 mars.

  • Tous les collègues n’ont toujours pas le matériel adéquat pour la prise en charge des appels téléphoniques, notamment des casques. La direction va prendre en charge ce problème ?

La direction va prendre en charge ce point. 400 casques sont en stock dans divers sites, les collègues doivent les demander auprès de leur secrétariat. A suivre.

  • Comment les PC sont « assurés » en cas de perte, de vol ou de casse du micro portable ?

Une assurance a été contractée par la direction de l’Urssaf qui couvrirait l’ensemble des risques pour les PC à domicile. Une note de service a été établi sur le sujet (B12-NI-2021-0201-02). L’obligation de ranger son micro portable dans un lieu verrouillé à clé n’est faite que lorsqu’on se trouve sur site mais pas à son domicile, même s’il convient de prendre les précautions minimales requises dans le cadre de toute assurance de biens.

  • Travail à distance et Micro portable + double écran à domicile : quelles sont les dispositions envisagées par la direction ?

Ce sujet sera abordé plus généralement dans le cadre des renégociations sur le télétravail (au plan national comme au plan local). L’Acoss va rendre des préconisations qui vont dicter en partie le contour des négociations qui vont ensuite être menées à l’Urssaf IDF. A suivre donc.

  • Temps partiel : la direction doit faire preuve de souplesse dans l’examen des demandes de temps partiels ou d’aménagements de temps partiels des collègues, au regard de la situation actuelle particulièrement compliquée que vivent nos collègues. En effet, ces nouvelles demandes de temps partiels s’imposent parfois à nos collègues, sans qu’on puisse parler de temps partiel de convenance.

Le passage au temps partiel choisi se fait toujours dans le cadre de la campagne annuelle, avec des demandes à faire en juin et une mise en place courant septembre, sauf raisons dument identifiées (raisons médicales, collègues ayant plus de 57 ans, congés parentaux). De fait, il n’y a pas de souplesse dans l’examen des demandes hors campagnes.

  • Il semblerait que dans certains sites, un contrôle des entrées et sorties des collègues soit effectué nominativement au niveau des Sas d’entrée. Est-ce lié à la situation sanitaire actuelle ? Bizarre tout de même comme démarche.

Tous les sites font l’objet d’un contrôle d’accès nominatif. Les informations sont stockées pendant 3 mois de date à date ; elles vont être exploitées dans la cadre du suivi sanitaire actuel.

Site de Champs

  • Les caméras des centres d’accueil sont-elles opérationnelles ? Les enregistrements sont-ils vus, compte tenu des incidents potentiels ?

Les caméras sont opérationnelles, les images sont enregistrées et sont visibles après coup si besoin, en cas d’agression par exemple (pas de visualisation en direct). Tous les centres d’accueil sont équipés du système Ramsès relié à la police. En cours d’étude : l’installation de caméras en visionnage immédiat (comme les caméras de surveillance dans les magasins) pour permettre une intervention immédiate en cas d’incident jugé grave.

  • Concernant les Rédacteurs juridiques, il leur est demandé qu’une personne revienne sur site au moins une fois par semaine pour assurer l’envoi des recommandés. Pourquoi cette contrainte ?

Pas de réponse en séance. A suivre au PV.

  • Les référents niveau 4 de la plateforme téléphonique demandent un déroulement de carrière vers le niveau 5A (demande déjà remontée auprès de la hiérarchie).

La demande a été transmise à la direction générale qui réfléchit sur le sujet.

  • Département Tese : manque de formation et d’anticipation suite à ré-internalisation des appels téléphoniques Tese. Les collègues se retrouvent à faire des fiches téléphoniques qu’elles doivent reprendre par la suite. De plus, la part de la téléphonie sur le poste de travail devient trop importante, et ne leur laisse pas le temps, ni la possibilité de traiter leurs affaires Watt. Que compte faire la direction ?

Plusieurs volets de réponse :

– Formation : les équipes ont formé des équipes de Cos, sachant que le niveau des collègues est très variable.

– Organisation des appels : ateliers participatifs, le centre Tese prend 20 % des appels en charge et la PFT 80 %. 4 gestionnaires ont été recrutés.

– Fiches multimédias : travaux en cours pour optimiser le niveau de traitements de ces fiches.

Pour résumer, tout a été fait pour que tout se passe de la meilleure des manières. Ce n’est pas le ressenti des collègues. A revoir donc, en fonction notamment de la réponse détaillée qui figurera au PV de la direction.

Site du Rousseau

  • Des collègues nous ont fait part de leur opposition à reprendre la formation en présentiel, même si c’est dans le cadre d’ateliers monitorés 3 jours par semaine. Est-ce vraiment obligatoire, alors qu’un message indique « si possible » ?

Des formations sont parfois tenues en présentiel du fait de la nature des formations. Des solutions peuvent être trouvées pour des cas particuliers.

  • Pôle relation de service : les informations indiquées initialement indiquaient 1h30 maximum de logage par jour, 3 fois par semaine. Là, on est malheureusement loin du compte.

Ce point sera traité lors de la CCSCT du 25 mars.

Site de Saint-Ouen

  • Demande d’un réfectoire pour déjeuner, car le RIE mis à la disposition des collègues est partagé avec plusieurs entreprises, et il n’y a que deux fours à micro-ondes, donc cela engendre beaucoup d’attente et des problèmes d’hygiène.

La situation actuelle est assez compliquée, le problème a été remonté. Ce point sera suivi en interne et fera l’objet d’une question à la prochaine Cric s’il n’a pas été résolu.

  • Centre d’accueil : formation et accompagnement insuffisants pour les collègues ex-SSI qui doivent se former sur le régime général.

L’accompagnement et le développement des compétences continuent, des réunions régulières sont organisées. La direction n’a pas eu connaissance de retours sur ces insuffisances. Mais les collègues concernés n’y trouvent toujours pas leur compte, notamment sur la connaissance du RG quand on doit répondre à des questions de cotisants.

  • Demande d’une salle de sport sachant que les collègues disposaient auparavant d’une salle de sport qui est vide maintenant, et que d’autres sites disposent déjà d’une salle de ce type.

Le sujet sera à nouveau évoqué lorsque la situation sanitaire s’y prêtera. Une possibilité existe en tout cas pour la mise à disposition de cette salle de sport.

Site de Lieusaint

  • Des soucis pour obtenir des informations auprès des collègues RH qui sont en rotation permanente. De fait, c’est compliqué d’obtenir des renseignements sur l’évolution des dossiers déposés sur WatRH ou même sur ADP, ne serait-ce qu’une simple réponse permettant de voir si le dossier est suivi. Cela finit par mettre tout le monde en difficulté.

Le site de Lieusaint a toujours eu un gestionnaire attitré, soit, mais la situation n’a pas toujours été stable, même si elle semble être revenu à la normale.

Site de Cergy

  • Des problèmes de chauffage subsistent sur le site (et peut-être sur d’autres sites), en particulier le lundi matin. Quand la direction remédiera à ce problème ?

Des dysfonctionnements sont toujours identifiés au second étage de Cergy (problèmes électriques, avec une intervention le 20 mars). Souci : il fait toujours aussi froid le lundi matin, et même les autres jours ! C’est bien de prévoir des locaux qui correspondent à des impératifs énergétiques mais ce serait bien aussi de ne pas se geler quand on vient sur site !

Au Marceau, il fait également froid (et ce n’est malheureusement pas un problème nouveau !).

Site de Paris – TI

  • A la mi-mars, il est prévu un TTRI sur les comptes TI (qui concerne d’ailleurs les régimes RG et TI de tous les site). L’organisation retenue pour Paris est que les agents TI « purs » vont avoir un portefeuille mixte artisans, commerçants et professions libérales pour une gestion complète. Depuis 2012, les collègues gestionnaires TI sont spécialisés. De ce fait, ils ne savent plus comment gérer les artisans commerçants pour certains, les Professions libérales pour d’autres, sans parler des jeunes sur postes qui n’ont jamais travaillé simultanément sur les deux régimes.

La direction répond que des formations théoriques ont été mises en place en 2019, mais elles étaient trop théoriques et pas faciles à mettre en pratique. Comme les équipes sont mixtes, les collègues s’épaulent pour faire face, et pour le directeur du site, ça semble suffire. Nous ne partageons pas son point de vue !

  • Demain, les collègues vont avoir dans leur portefeuille des affaires qui risquent de traîner parce qu’aucune formation n’a été anticipée. Au niveau du V2, ils devront se réapproprier les PJ qui ont des codes types différents, sans pouvoir forcément mesurer les incidences de l’absence de tel ou tel code type.

L’aspect des PJ est certes commun aux diverses catégories des TI, mais les principes généraux sont analogues, donc, pour le directeur du site, ça peut le faire avec un accompagnement ad-hoc interne. Là-aussi, il compte sur la bonne volonté des collègues pour faire face au manque de moyens.

  • Concernant la législation, il y a des différences notables que les agents ne maîtrisent pas. En effet, depuis plusieurs années des réflexes spécifiques à chaque régime se sont imposées concernant l’affiliation par exemple qui existent chez lez AC et pas chez les PL et inversement, de même que pour les professions libérales non réglementée (PLNR) dont nous n’avons pas vraiment d’infos de gestion des affiliations. Parallèlement, il y aura le maintien d’un portefeuille commun AE, dont le versant IDRE sera distribué au quotidien à l’ensemble des collègues qu’ils soient TI ou AE. Certes, il y a eu une formation, mais celle-ci était à distance, donc sans possibilité de s’exercer de façon probante.  Enfin, les collègues doivent maintenant s’approprier l’outil SCR qui était géré par l’ex-SSI, suite à une formation de 2 heures à distance, ou le même problème que la formation sur le régime AE se pose : pas d’exercice possible, pas de notion des tenants et aboutissants de SCR, pas de possibilité d’imprimer les modes opératoires pour faire du pas à pas, pas de référent direct à qui s’adresser etc.

Depuis 2020, l’encadrement fait un travail de fond pour cet accompagnement, et le nécessaire est fait depuis 2021, mais comme les collègues ne pratiquent pas, ils oublient… En résumé, il faut tout faire, le travail courant qui s’accumule et le travail nouveau qu’il faut pratiquer. Résultat : on ne s’en sort pas ! Par ailleurs, le portefeuille commun ne serait plus d’actualité.

  • Les collègues sont découragés et ont l’impression qu’ils ne s’en sortiront jamais. Pourquoi ne pas avoir fait par étape en commençant par exemple le traitement des AE et par la suite introduire les artisans, commerçants et PL ou inversement ?

Aucune réponse.

  • Pourquoi avoir refusé que le collègue ex MDA qui le souhaitait vienne en renfort sur les TI, alors que visiblement nous sommes en manque de personnel puisque le portefeuille commun est toujours d’actualité ?

Il n’y aurait pas de place physique pour l’installation du collègue…

  • Nous souhaiterions avoir le nombre de compte par portefeuille, par agent, et par temps de travail, sachant que M. Normand avait précisé que pour lui le calibrage des portefeuilles n’était pas une fin en soi…

Le directeur du site sera en mesure de donner ces éléments après le TTRI. C’est la charge de travail représentée par le nombre d’affaires Watt qui pourrait calibrer à l’avenir les travaux à prendre en charge par les collègues.

  • Certains AJ se retrouvent à traiter uniquement des dossiers TI sans formation ou presque et doivent pourtant assurer une réponse téléphonique correcte, sachant qu’en plus, le temps de logage quotidien est trop lourd pour faire face à la charge de travail, mettant en difficulté nos collègues.

Les AJ ne sont pas plus sollicités que les autres collègues d’après la direction (2h par semaine).

Nous reverrons l’ensemble de ces points avec les collègues concernés après réception du PV de la direction.

Site de Dammarie

  • Le passage prochain du TTRI va chambouler les portefeuilles des collègues. C’est bien de vouloir éviter la « spécialisation » des collègues, mais là, cela revient avant tout à mettre en difficulté les collègues, qui vont par exemple se retrouver à gérer des comptes AE qui ne maitrisent pas forcément. Prévoir de telles modifications dans le contexte compliqué actuel est particulièrement inopportun.

Le site se verra confier 34 000 comptes supplémentaires de comptes AE à gérer. Tous les collègues vont être associés pour gérer ces comptes AE. Une organisation provisoire va être mise en œuvre avant une organisation pérenne à venir. Eléments plus détaillés au PV.

Site de Guyancourt

  • Du nouveau quant à la recherche du nouveau site ? Date butoir de décision pour le futur site ?

Les recherches sont en cours, une liste restreinte de sites envisagées sera connue début juillet.

  • Installation de Web Cam sur les micros de collègues : nous avons demandé à ce que le volontariat soit respecté pour les collègues qui ne voudraient pas se connecter en Visio.

Réponse à venir au PV.

Questions supplémentaires

  • Vaccination contre la Covid

Cette possibilité est clairement envisagée par le service de Santé au travail, mais les modalités d’application restent encore largement à définir. A suivre.

  • Est-il possible de reporter les reliquats de congés non posés avant la fin mai 2021 sur une date ultérieure ? Pour les jours de récupération, quand un jour férié tombe le samedi et au vu justement des soldes de congés, pourrait-on récupérer ces jours sur juin ?

La direction va étudier la question.

  • Y a-t-il obligation de suivre la formation de formateur occasionnel même si les collègues ne sont pas volontaires ? Les référents techniques (dès le niveau 4) doivent-ils endosser la casquette de formateur occasionnel alors que certains ne se sont jamais proposés pour devenir formateur occasionnel ? Est-ce qu’a l’issue de cette formation, les collègues seront obligés d’être formateurs ?

Il y a obligation de suivre une formation si l’employeur le demande. Après, il parait exagéré d’obliger des collègues tels que les référents techniques niveau 4 de suivre une formation de ce type pour exercer ensuite des tâches de formateur occasionnel. Le monitorat existe dans les fiches de poste, soit, et cela a déjà été abordé dans des précédentes instances, mais la formation occasionnelle, ça parait vraiment trop au regard du poste.

  • Nous rappelons la possibilité offerte aux collègues de pouvoir badger 6 fois par jour

La direction confirme que cette possibilité existe, sous la condition de prévenir le manager, et que cette possibilité soit utilisée de façon raisonnée.

 

N’hésitez pas à nous sollicitez pour toutes questions : cgturssafidf@orange.fr

Prochains CSE le 16 mars et le 13 avril 2021 – Prochaine Cric le 22 juin 2021

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